Afin d’améliorer le parcours de santé des habitants, ATMO Grand Est a déployé Pollin’air sur votre territoire.
Ce réseau participatif signale en temps réel et de manière géolocalisée l’arrivée des pollens allergisants dans la région Grand Est aux personnes qui le souhaitent, via un site d’information dédié.
Devenez sentinelle ! une plante, un lieu, une date, c’est tout ce qu’il faut pour améliorer la qualité de vie de milliers de personnes allergiques. Choisissez une ou plusieurs plantes près de chez vous parmi 25 espèces à pollens allergisants et renseignez 3 phases de développement : floraison, début et fin de pollinisation. Vous serez aidé par un guide explicatif et nos experts des pollens. Participer à ce dispositif d’intérêt général ne prend que quelques minutes au cours de la saison et aide des milliers de personnes allergiques à prendre soin de leur santé.
ATMO Grand Est, l’association agréée de surveillance de la qualité de l’air dans le Grand Est, vous accompagne et vous forme aux observations, tout au long de l’année. Les observateurs sont des jardiniers, des botanistes professionnels ou des amateurs de tous horizons. Ce projet intergénérationnel permet de rassembler petits et grands autour d’une activité ludique : partagez un moment convivial en famille en observant et en acquérant des connaissances en botanique. Devenir sentinelle Pollin’air.
En France, les pollens sont responsables de réactions allergiques chez près de 25 % de la population, ce qui représente plusieurs centaines de milliers de personnes dans la région Grand Est. Les personnes allergiques peuvent recevoir par mail en temps réel les alertes du pollen les concernant sur le secteur géographique choisi en s’inscrivant sur la liste de diffusion du réseau.
Les personnes allergiques susceptibles d’être intéressées par le dispositif sont informées par les professionnels de santé, en particulier les pharmaciens.
À terme, l’ambition d’ATMO Grand Est et de ses partenaires est d’élaborer un indice spécifique couplant des données de prévision de la qualité de l’air avec celles de la contamination aérobiologique, permettant une meilleure pertinence de l’information délivrée aux patients. Ceux-ci pourront alors encore mieux adapter leur comportement afin de minimiser les risques de réactions allergiques.